Le chanteur et guitariste de Trivium Matthew Kiichi Heafy a partagé plus de détails sur son projet IBARAKI tant attendu et très attendu.
Le premier album du projet, Rashomon , sortira le 6 mai via Nuclear Blast.
Aujourd'hui, le groupe a partagé le clip de "Akumu" (Feat. Nergal). Regardez-le ici : https://youtu.be/YLDpQ8EnglM
"'Akumu' se traduit par 'cauchemar' — et avec cette pièce, j'encourage l'auditeur à travailler pour trouver son interprétation de ce qu'il ressent à partir des paroles, de la musique et des visuels obsédants du clip", explique Kiichi. "J'ai toujours été fasciné par la "Transfiguration" de Sagazan et depuis des années, je voulais rendre hommage à ses œuvres avec une œuvre d'art performance ; pouvoir enfin m'immerger dans son style a été une expérience intense."
Il termine : « Avoir Nergal comme invité dans cette pièce co-écrite par Ihsahn m'a permis de combiner plusieurs de mes influences de longue date ; et lorsque j'ai présenté à Nergal le défi de traduire mes paroles en polonais, cela a amené la chanson à un autre niveau. "
Le mois dernier, Ibaraki a offert aux fans un avant-goût de la musique en partageant la vidéo de "Tamashii No Houkai", avec l'invité spécial Ihsahn de la renommée Emperor , qui est l'un des principaux contributeurs et partenaires de ce projet. Les fans pourront écouter « Akumu » et « Tamashii No Houkai » en pré-enregistrant ici : https://ibaraki.bfan.link/rashomon
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Ibaraki a récemment été sélectionné comme l'une des sorties les plus attendues de 2022 par Revolver.
LISTE DES PISTES DE RASHOMON :
"Hakanaki Hitsuzen"
"Kagutsuchi"
"Ibaraki-Dōji"
"Jigoku Dayū"
"Tamashii No Houkai"
"Akumu" (Feat.Nergal)
"Komorébi"
"Rônin" (Feat. Gerard Way)
"Susanoo No Mikoto" (Feat.Ihsahn)
"Kaizoku"
À PROPOS D'IBARAKI :
IBARAKI — le nom d'un terrifiant démon japonais tiré d'une légende féodale et du nouveau projet de Matthew Kiichi Heafy de Trivium — est plus qu'un disque solo. C'est le résultat final du voyage d'un artiste qui trouve sa voix. Ses inspirations vont de l'adoration pour les extrêmes du black metal à la narration exubérante de Gerard Way en passant par la mondanité aventureuse du bon vivant tragique Anthony Bourdain. C'est le reflet des intérêts multiformes de Kiichi ainsi qu'une profonde affirmation de son identité nippo-américaine, et qui l'a amené à affronter l'un des moments les plus tragiques de sa famille. Tout comme l'artiste derrière ce projet, l'histoire d' Ibaraki a beaucoup à raconter et elle a commencé par un timide e-mail adressé à l'une des figures les plus vénérées et les plus influentes du black metal.
Kiichi, un fan de black metal avant même de créer Trivium , a contacté les représentants du label Ihsahn of Emperor , et l'artiste a personnellement répondu. Il se souvient : « C'était tellement cool d'obtenir ce signe de tête et cela m'a inspiré à commencer à écouter certains de ses trucs solo. Il venait de sortir son propre disque solo et je n'avais jamais rien entendu de tel – saxophones, chant clair, jazz. accords. C'était incroyable pour moi. C'est cet inventeur non-stop. Alors j'ai commencé à écrire d'une manière totalement différente. "
L'exposition au travail solo d'Ihsahn qui inspirera le savoir-faire progressif qui deviendra finalement Ibaraki. C'était aussi le début d'une amitié et d'une collaboration créative qui finiraient par obliger Ihsahn à se lancer dans un nouveau rôle de producteur sur le projet. Alors qu'une grande partie du matériel d' Ibaraki a été assemblée au cours de ces mois et années – autant un processus d'écriture de chansons qu'un échange d'idées entre amis – ce n'est qu'après la pandémie que l'espace a été créé et que l'idée a vraiment pu prospérer.
"C'était très lâche", explique Ihsahn . "Nous avons juste eu des démos difficiles pendant très longtemps parce que nous sommes sans doute des gens très occupés, mais tout d'un coup, tout a été annulé et nous avons eu du temps libre pour la première fois, alors c'était comme, 'OK, faisons ça.' ' Nous n'avons jamais eu l'occasion de travailler dans la même pièce ; il suivait les guitares et me les envoyait, je les parcourais dans mon studio et je les renvoyais. C'était une nouvelle façon de travailler, mais c'était comme s'il était là sur de l'autre côté du verre. Matt est un fan de musique très, très positif, énergique et passionné - nous avons des attitudes similaires à l'égard de la musique et une ouverture d'esprit. Nous nous sommes bien entendus et cela a été vraiment gratifiant pour moi.
Les interactions créatives entre les deux sont le résultat d’une confiance profonde née d’une communauté d’expériences. "Nous avons tous les deux créé nos groupes respectifs quand nous avions 13 ans", explique Ihsahn . "Nous avons signé quand nous avions 16 ans. C'est jeune, et en substance, nous avons tous les deux trouvé notre chemin dans la vie dès notre plus jeune âge. Nous avons beaucoup parlé de cela et de nos différentes expériences à ce sujet, car c'est comme si nous ne connaissions rien d'autre. "
Alors que le matériel a été principalement écrit par Kiichi, Ihsahn a conçu, produit et contribué à certaines structures de chansons, ainsi que le batteur de Trivium Alex Bent et le bassiste Paolo Gregoletto et le guitariste Corey Beaulieu ont contribué à divers morceaux. Heidi , l'épouse d'Ihsahn , a même échantillonné des sons naturels de la forêt proche de chez eux et de toute sa famille. Les invités supplémentaires incluent Way et Nergal de Behemoth.
Ihsahn a également encouragé Kiichi à rechercher de nouvelles voies d'inspiration lyrique, notamment son héritage japonais. Alors qu'un éventail d'histoires ont été racontées à travers les tatouages sur son corps, comme l'ancienne histoire japonaise spécifique des dieux, des déesses et des monstres de la religion shinto qui lui a été enseignée par sa mère, il a commencé à traduire ces histoires dans des paroles.
Bien que la riche mythologie et le folklore du Japon donnent à IBARAKI son esthétique et ses influences uniques, ils fournissent également à l'artiste le catalyseur pour contempler sa propre identité et considérer comment les récentes tragédies aux États-Unis ont mis en évidence la nécessité d'une meilleure représentation dans le métal.
